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Jantel-esperluette |
Herméneutikon des VET. |
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"ARTICLE(S) DU JOUR" est une rubrique se proposant de poster des articles réguliers écrits sur le cas Pantel. Sa thématique sera la plus variée possible sans jamais déroger, et ce, même dans l'anecdotique, à la lignée éditoriale imposée par l'exceptionnelle qualité des Textes des VET. Je vous en souhaite une agréable lecture. Esperluette. |
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JEAN-CLAUDE PANTEL ET JIMMY GUIEU A TÉLÉ MONTE CARLO |
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"LES MESSAGER DU TEMPS", JEAN CLAUDE PANTEL, PREMIÈRE PARTIE par HBTV : |
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Là,
dans la
Campagne,
Deux
tabacs
D’Espagne
S’égayaient ;
Il
faisait
La
ronde,
Initiés
Des
Mondes
Étoilés,
Dont
plus haut
S’honore
L’astre
d’eau
Et
d’or
Enflammé !
Vont-ils
bien
Nos
chers
Chérubins
De
chair
Chamarrée ?
Car
tandis
Qu’ils
fêtent
Circuit
Des
planètes,
L’Harmonie,
Non
ils ne
Copulent,
Fusion
de
Cellules,
Nos
Amis !
Non,
malgré
L’hormone
Qui
scinde et
Ordonne
Méfiance,
Ils
ne nouent
Leur
sexe
Concave
ou
Convexe
Mais
fiance,
Dans
l’Action
Zélée
D’une
union
Sacrée,
Deux
Esprits !
Papillons
D’Amour,
Ils
verront
Un
jour
Celui
qui
Fit
le ver
Avec
L’Univers
Des
grecs
Tournant
rond !
Or,
qu’importe
La
plume
Qui
apporte,
Posthume,
Un
grand nom…
Dans
les nues,
Les
airs,
Quelque
mue
Opère
Née
du Vide ;
Pour
Platon
Et
les
Papillons
Elle
est
Chrysalide…
Chez
Zénon
D’Élée,
Papillon
Ailé
Équivaut
A
ce vol
Qui
meurt,
Loin d’Éole,
Dès
l’heure
Du
repos.
Sainte-Agnès.
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A PROPOS DE JOSEPH BALSAMO DIT « COMTE DE CAGLIOSTRO » (JUIN 1743 - AOÛT 1795) |
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A PROPOS DE JOSEPH BALSAMO DIT « COMTE DE CAGLIOSTRO »
(JUIN 1743 - AOÛT 1795), OU COMBIEN SONT-ILS A VIVRE PARMI NOUS ?
Alors qu’il finissait de visionner la mini-série télévisée « Joseph
Balsamo » (André Hunebelle, 1973), Jean-Claude Pantel entendit l’Entité
transparente KARZENSTEIN lui affirmer qu’il connaissait en personne
cette mystérieuse célébrité et qu’il la côtoyait régulièrement…Ce qui le
laissa pensif (1).
Aussi apprit-il que Joseph Balsamo était en fait le SEMI GÉOMÉTRISÉ BASILEUS, premier VET de son engeance à avoir approché Jean-Claude Pantel lorsque celui-ci n’était qu’un bébé.
Une question se pose, hier comme aujourd’hui, combien sont-ILS à vivre parmi nous ?
Rappelons que BASILEUS fut décrit par les VOIX SPATIO-VIDES comme ayant
été parmi nous un « preux chevalier », ce qui lui valut l’honneur de
passer, après sa dernière vie consciente en notre compagnie, en strate
de SEMI GÉOMÉTRISATION (2).
Depuis, sa présence, sous diverses
formes, s’est matérialisée à intervalles réguliers au sein de notre
humanité sous couvert de personnages, historiques ou non, visant à mieux
orienter l’Intelligence Événementiel (Ambiant) vers son logique
déroulement selon la Volonté qui lui est propre, et les « nécessités
effluencelles » qui en découlent.
En l’occurrence, Cagliostro eut
pour fonction d'accompagner - via la Franc-Maçonnerie et d'autres
sociétés occultes - l'effondrement de l'ancien régime en fomentant de
toutes pièces la Révolution Française.
Parmi de multiples avatars
(Puisque nous savons que cette « classe d'intra-terrestres » peut
apparaître sous n'importe quelle forme), le visage de BASILEUS propose
aujourd'hui à notre sens visuel, d’après Jean-Claude Pantel, un quasi
sosie de l’acteur français Guy Delorme (3).
Nous connaissons
aussi, de source sûre, la présence actuelle d’au moins deux autres
SPATIO-VOLUMES évoluant par intermittence en notre dimension : MADAME
DANY officiant en tant que généalogiste auprès des Mormons, ainsi que
celle de GAUVIN qui opère en notre société sous l’apparence d’un évêque
(Dont nous tairons le nom).
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1) Au cours d'une discussion téléphonique antérieure, Jean-Claude
Pantel, évoquant déjà avec ses amis l'éventualité que Joseph Balsamo
puisse être un SEMI GÉOMÉTRISÉ, entendit KARZENSTEIN lui dire «Évidemment !» .
2) D'où les galops de cheval que Jean-Claude
Pantel entend au téléphone lui signifiant que l'Entité fréquente les
parages (Qu'on a entendu une fois hennir en plein centre d'Aubagne alors
que les lieux étaient déserts).
3) Lequel jouait dans le film Joseph Balsamo (!).
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A PROPOS DES FRÉQUENCES DE RETOUR SUBIES PAR NOTRE HUMANITÉ |
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D’après KARZENSTEIN, la durée moyenne des États de Suspens concernant
les membres de notre espèce se situe entre 5 et 30 ans, 5 ans étant le
minimum, disons, incompressible.
Cette moyenne - qui peut
laisser pantois - nous fait toucher du doigt la célérité extrême des
fréquences de retour, de par notre assiduité à ne considérer la Vie
qu’exclusivement sous l’angle du « facteur géométrie ».
D’où le désordre.
Rappelons qu’espacer ces fréquences concernant le cycle des
réincarnations peut seul autoriser certains avatars, « davantage
réalisés », à rompre l’inexorable chaîne du Samsara, et ainsi intégrer
définitivement ces races humaines bien plus évoluées que la nôtre.
Toujours d’après KARZENSTEIN, notre pâle entendement nous fait prendre
conscience d’à peine 5 % des personnages concernés par ce « dévêtement cellulaire » gagné par les
rares élus ayant accès à une Mue évolutive.
Citons pour
l’anecdote Stanley Kubrick qui aujourd’hui fait partie des rares
chanceux à côtoyer d’autres formes d’intelligence rassérénées, à coup
sûr, quant à la supériorité et la prévalence du Vide sur le volume.
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INTERVENTION MAGLOOWIENNE |
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"Le contexte engendre le prétexte avant qu'en suite le prétexte n'engendre le contexte".
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"LE VOYAGEUR DE L'ORAGE", Saison 2, JEAN-CLAUDE PANTEL |
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"Le Voyageur de l'Orage", saison une, Jean-Claude Pantel |
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"RENCONTRE" par JEAN CLAUDE PANTEL, version inédite |
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LE TALENT par JEAN-CLAUDE PANTEL |
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"Les Enfants d'Hermann Hess" par JEAN-CLAUDE PANTEL |
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"Solvet Seclum" par JEAN-CLAUDE PANTEL (Leconte de Lisle) |
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COURT DIALOGUE
ENTRE L’ÂME ET LE CORPS
L’Âme : - « Je n’y crois pas
Une seule
seconde ! »
Le corps :
- « Dis-moi : A quoi ? »
L’Âme : - « A
ce plus que bas monde ! »
HÉRÉDITÉ RÉCESSIVE
Ira
s’amenuisant, années après années,
L’espérance de
vie, cet espoir d’exister.
AURI FABER
C’est
malheureusement tout au bout du parcours
Que la
vieillesse enseigne aux hommes l’Autre Amour…
C’est pourquoi un
vieillard cache parfois un sage,
C’est pourquoi
très souvent l’âge tendre naufrage.
A l’orée de la
mort, à la lisière d’Être,
Le vieil ermite, usé, désirant disparaître,
Dans sa cabane
en ruine, au coin de l’âtre éteint,
Comme des nues
masquaient la lune noire au loin,
S’entailla la
poitrine à l'aide de sa dague ;
Or, ce n’est
point du sang qui coula, mais des vagues
De phosphore où
luisaient de somptueuses ténèbres.
Y gravant, une à
une, onze lettre funèbres,
Le nom de JESUS
CHRIST lui révéla ainsi
Que du cœur supplicié
rayonne de la nuit.
LE MIROIR DES DAMNATIONS
Face au
spectacle hideux de sa progéniture,
Immonde
complaisance à l'égard de lui-même,
Comme dans le
reflet d'un miroir l’homme s'aime,
Le présent
admirant ce qu'il offre au futur.
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LE MYSTÈRE Jean Claude PANTEL sur Fréquence Evasion. |
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Après nous, vous serez hélas !
Dans la plus noire des impasses,
Subissant le sort dévolu
A toutes les races déchues...
Moi je vous plains de tout mon cœur,
Générations désespérées,
Tandis que, mort et enterré,
Je ne vous verrai pas en pleurs
A genoux et courbant l'échine
Sous le chaos, immonde trique,
Sous le joug d'âpres politiques,
Sous les soldats venus de Chine.
La guerre sera votre lot,
La misère votre fardeau,
Quand la famine et l'infamie
Seront vos meilleures amies...
Où trouverez-vous l'Espérance ?
Où verrez-vous ce qu'il faut voir ?
Brille dans la nuit la plus noire
Des étoiles la rutilence.
Quand les avions fondront du ciel
Déroulant leurs tapis de bombes,
Votre âme, apeurée par la tombe,
Vivra de foi, ou bien de fiel ?
Souffrez du fait que les moustiques,
Que les mouches et que les tiques,
Que les plus modestes insectes
Mouvront les zoonoses infectes.
De séisme en lame de fond,
La planète entrera en lice
Et grattera, telle une lice,
Ses puces dont les hommes sont.
Les continents tant bougeront
Ayant pour cap une Pangée,
Voiles dehors, le "Vaisseau Gée"
Prendra pour vent sa rétraction !
Et là, me diriez-vous, qu'attendre
D'un monde voué à la cendre ?
D'un système appelé à suivre
La croix que Christ voulut bien vivre ?
Les volcans sous-marins génèrent
Toutes les mutations promises,
Paris sera une banquise,
L'Arctique ensablé un désert.
Mais peu importe ! Il faudra croire
Aux bouleversements futurs,
L'homme est une éprouvette sûre,
Le Cosmos son laboratoire.
Dès lors, dans l'horreur des charniers,
Des dépouilles viralisées,
Sentirons-nous, d'espoir en peur,
Œuvrer la main du Créateur ?
Une société renaîtra
D'un autre mode géniteur :
Les ventres perdront leur rondeur,
L’ectogenèse apparaîtra.
Tandis que bébé parmi vous,
Je vaginerai autre voix
Sanglotant d'être, encore là,
Un clone triste et déjà fou.
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Jean-Claude PANTEL, chansons d'hier et d'aujourd'hui (6 Inédites) |
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"Lettre ouverte à ceux qui vivent de l'art...et pour l'art" de Jean-Claude PANTEL |
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Face au spectacle hideux
de sa progéniture,
Immonde complaisance à
l'égard de lui-même,
Comme dans le reflet
d'un miroir l’homme s'aime,
Le présent admirant ce
qu'il offre au futur.
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A PROPOS DE LA LOI DES SÉRIES |
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Le 23 Mars 1999, Patrick Mazarrello, en compagnie de
Jean-Claude Pantel, reçut dans son cabinet d’avocat 4 vis suivis de près d’une
plaque en fer sur laquelle - en lettres d’or - était inscrit ceci :
« L(OI DES) S(ÉRIES), 39 ».
« L’apport phénoménique » était accompagné
par une pluie de 39 bougies allumées qui, avant de disparaître, virent leur mèche se consumer en une fraction de seconde sous la forme de très hautes
flammes.
Le tout était escorté par des petits drapeaux français
et italiens qui flottèrent quelques instants autour de Jean-Claude Pantel avant
de disparaître eux aussi on ne sait où.
Du 24 au 26 Mars 1999, le gigantesque incendie qui ravagea le
Tunnel du Mont-Blanc fit autant de victimes que le nombre de bougies apparues
la veille, leur rapide et spectaculaire embrasement symbolisant, d’après Virgins (Texte du 1er Juin
1978) « cette vie [n’étant] jamais plus présente que
lorsqu’elle côtoie ceux qui vont mourir ».
Rappelons que la Loi des Séries
(Loi conséquentielle au regard des VET, et non causale) fera de cette incendie de
tunnel le premier d’une longue liste.
On notera que le 29 mai 1999 le
second provoquera la rupture de la vie consciente de 12 personnes dans
l’incendie du tunnel des Tauern (Autriche), engendré par la collision de 5 voitures
avec un poids lourd et un camion transportant de la peinture ignifuge.
En outre :
- Cette énigmatique Loi des Séries tuera, le 29 juin
1999, 2 personnes et en blessera de
nombreuses autres à la suite d'un incendie à l'entrée d'un tunnel en
construction, à Drammen (Norvège).
- Le 11 novembre 2000, elle fera, consécutivement à
l'incendie d'un funiculaire, 155 victimes dans un tunnel reliant la station de
Kaprun au glacier de Kitzsteinhorn (Alpes autrichiennes).
- Le 6 août 2001 – toujours en Autriche – elle décidera
de la mort de cinq Néerlandais d'une même famille mourant brûlés vifs dans le tunnel
autoroutier de la Gleinalm, à la suite d'une collision frontale entre deux
véhicules.
- Le 24 octobre 2001 elle fera 11 morts dans le tunnel du
Saint-Gothard (Suisse),
situé sur le principal axe autoroutier
nord-sud du pays, à cause d’un incendie provoqué par la collision entre deux
camions dont un transportait des pneumatiques.
- Enfin l'incendie du 4 juin 2005, provoqué par
une fuite de gazole sur un camion transportant des pneus, lequel s'est déclaré dans
la partie française du tunnel de Fréjus reliant l'Italie à la France, la rendra en
partie « responsable » de la mort deux personnes.
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A PROPOS DES SEMI-GEOMÉTRISÉS |
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Ni ILS baptisent, ni ILS Bâtissent...
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L’ULTIME ULTIMATUM
"Seule l’Harmonie multiplie, Jantel, souvenez-vous,
seule l’Harmonie..."
Rasmunssen, Juin 1988
Notre espèce se meurt
d’une agonie sans fin ;
Hommes ! Arrêtez
donc de procréer en vain !
L’inutile souffrance,
âtre aux flammes damnées,
D’embuches ne doit plus
se voir alimentée !
L’écolier sur son banc
fait l’esclave à venir,
C’est assez de forçats
condamnés à souffrir !
Quand l’on rit aux
éclats de la cause accusée,
Sur l’âpre conséquence,
arrêtons de pleurer !
Les tsunamis bientôt, les
séismes demain,
Les volcans, les virus, la guerre au quotidien,
Le nombre en ses excès
tantôt fera l’opprobre…
Jésus crucifié, rêvant
de l’homme sobre,
Dans un dernier soupir sut
dire : « Il est trop tard… »
Seul Dieu s’octroie le droit de compter en
milliards.
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"Votre humanité se trouve actuellement aux portes de la catastrophe", Karzenstein, septembre 2015.
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MA COQUE DE NOIX OU CHANSON D’ÉTÉ |
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Ma coque de noix
Sans rame, sans mât
Coque ronde et rogue…
Ma coque de noix
Le Jabron aboie,
Sur son flot tu vogues.
Moitié de coquille
C'est sans nulle quille
Que nue tu navigues…
Je suis comme toi
Ma coque de noix
Qu’aucun but n’endigue ;
La graine des Mondes,
Vacuité féconde,
Gît là, en ton cœur ;
Et ton cap s’étoile,
L’Espérance en voile,
Direction Ailleurs !
Tu chus sur la Terre
Roulant sur les pierres
Au bord de la rive.
Une année passa,
Zéphyr te souffla
Dessus l’onde vive.
Qu’elle est loin la branche
Que Juin avalanche
En foison de feuilles !
Tu glisses sur l’eau
Sous un chant d’oiseaux
Magnifiant leur deuil…
Ils pleurent ta chute
Toi, la proie en lutte
Des quatre éléments !
Hélas ! N’oublient-ils
Que te vit l’Idylle
Du bleu Firmament ?
Toi, ma nef cardiaque,
Que crains-tu l’attaque
Du poisson bourru ?
Où croît l’écrevisse
Des pinces complices
Prient pour ton Salut !
Tel un chœur sacré
Ton chantre en secret
Nous crie en ce jour
Cinglant sur les vagues
La Foi d’où s’évague
L’écume d’Amour !
Fais-toi la comète
Fuyant la planète
Sur l’autre Océan
Où une Eau lucide
Flottant en le Vide
Nie tout mouvement.
Ô précieuse chose,
Combien est morose
La piètre existence !
Bénie-sois ta sève
Nourrie par le rêve
D’une Quintessence !
Fi de ta moitié
T'ayant délesté
De ses œuvres-mortes !
Tout l’Espace-temps
Bat en ton néant
Comme d’une aorte !
Parmi tes cellules
Dont les ventricules
Pulsent l’Infini,
Pensées d’Au-delà
Meuvent d’Athéna
La chouette effigie !
Dieu est le seul port
Où la juste mort
Amarre en ses quais
Loin des vaux, des vents,
Le fixe courant
De l’Éternité !
Ton âme cordée
Toujours accordée
Aux plus tendres notes
Déjà fait sa mue
Vibrant d'Absolu
Connu d’Aristote…
Loin de tout cerneau,
Loin de tout cerveau
Toi et moi Seront !
Demain connaîtra
Fuguant d’ici-bas
La Consécration !
Ma coque de noix
Prendre l’eau n’est pas
Inscrit en ta fibre :
Le Destin épargne
L’esprit dont la hargne
Fut de naître libre !
Ma coque de noix
Tu n’es plus déjà
Qu’un lointain noème.
L’horizon plus bas
Te salue en roi
D’un humble poème.
Noyer-sur-Jabron, le jeudi 20 Août 2015. |
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LA 3EME GUERRE MONDIALE AURA BIEN LIEU |
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« Seuls les monstres peuvent se permettre de voir les choses telles
qu’elles sont, répétait volontiers Cioran. Dans la première partie de sa
vie, il n’aurait pas répugné à exterminer une bonne moitié de
l’humanité. Dans la seconde, il rêvait d’une hécatombe universelle, à la
manière de Wittgenstein jubilant à l’idée que la bombe atomique nous
débarrasse d’autrui et nous délivre de nous-même ». Rolland Jaccard,
« Cioran et compagnie », 2005.
Si Dieu m’avait offert le pouvoir qui incombe
A ceux dont l'Idéal, aux commandes des bombes,
Est l’extermination de notre humanité,
Aucun doute jamais ne m’aurait effleuré
L’esprit ; aussi le doigt sur le bouton suprême
J’aurais solutionné le terrestre problème,
Tranchant le nœud gordien des siècles éprouvés
D’un beau feu d’artifice, en gerbes bigarrées !
Je n'aurais hésité une seule seconde
Pas une, entendez-vous ? à réduire en ce monde
A néant notre espèce incapable d'Amour !
Combien j'aurais aimé mettre fin à nos jours
Nul ne saurait le dire ou bien l'imaginer...
Divise en la terreur qui croit multiplier,
Que n'a-t-on point revu fortement à la baisse
Ces foules décriées par Giammaria Ortes ?
Périclite à jamais la race en le surnombre
Par l'oliganthropie, astre éblouissant l'ombre...
Or ils sont déjà nés, de demain potentats,
Ceux rêvant d'un futur au mille Hiroshima !
Bravant l’illusion vaine de l’IDS
Lorsque s’exprimera Thémis, juste déesse,
Niant la dissuasion au fantasme avorté
Tandis qu’oscillera le fléau sans pitié…
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Ô Source,
Inspire-moi !
Ta course,
En l’Au-delà,
De son
Filet fluide,
Fait don
D’Amour du Vide.
Fontaine
De tant d’émois !
Mes peines,
Quand je te bois,
S’envolent,
Sombres vapeurs,
Au pôle
De la Candeur ;
Échos
En mes cellules,
Ton flot
Tintinnabule
Ces Lois
Qui, d’Harmonie,
Tournoient
A l’Infini !
Eau de
L’Autre Royaume,
Au creux
D’une humble paume,
Flue et,
Gloire posthume,
De vrai
Baigne ma plume !
Ô preuve
De plus beaux Mondes,
Abreuve
De ta claire Onde,
Sans fin
Ma soif d’aimer
Que rien
N’a étanchée !
Qu’un jour
Ta goutte ultime
Qui sourd
Du noir Abîme
S’en vienne
Et noie enfin
Les gènes
D’un être humain.
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PERDRE UN FRÈRE (Chanson) |
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Tu me laissas si triste, esseulé par ta faute,
J’avais jadis un frère, or la mort fut si sotte
Que, t’arrachant de terre avec ses poings sinistres,
Tu m’abandonnas, seul, dans ce monde de cuistres ;
Dans ce monde où aimer se brade et se corrompt,
Dans ce monde où autrui est l’ennemi qu’on rompt,
Dans ce monde qui crache à la face du Beau
Et se réjouit quand naît Demain dans son berceau.
Si le Sort, ce méchant, m’avait laissé le choix,
J’aurais prié cent fois, plutôt que cet effroi
De perdre pour toujours un frère que je pleure,
Qu’il me plante un poignard en plein milieu du cœur.
Saignant toutes les plaies saignées par les martyrs,
Le meilleur me fuyant, c’est direction le pire
Que mon âme en naufrage aurait tendu sa voile
Pour voguer, tout là-haut, vers ses sœurs les étoiles !
J’aurais tout accepté, options au cap multiple,
Comme un maître se voit servi par ses disciples,
J’aurais léché les pieds des sales Compromis
Puis, fouetté par l’Orgueil dont le zèle humilie,
J’aurais dit au Mépris : « Essuie-toi sur mon front
Comme un soulier crotté le fait d’un paillasson… »
Mais voila, rien ne sert de remonter le cours
Du temps qui s’avançant fait s’écrouler les tours
Des Babel dont les nains défient l’Immensité,
Que fait donc au Ciel, puissante éternité,
Que l’esclave à genoux d’ici-bas se croit prince ?
Mon frère je t’aimais comme un roi sa Province
Au mille et un coteau d’un flamboyant été
Tant tu fus mon soleil, lumière énamourée
Qui peignait des rayons sur ma morne grimace !
Jamais de te pleurer mes larmes ne sont lasses,
Ma détresse est profonde autant que l’est la nuit
De lune enténébrée et qu’en chauve-souris
L’Espérance parcourt sans ne jamais trouver
Une proie à saisir sous son vol effréné !
Où trouver cette joie qui me manque à présent,
Coulant sous le carnage, ô mes frères de sang,
Vous qui êtes les miens, riche et pauvre famille
Que vêt le beau costume ou l’affreuse guenille ?
Quand la fraternité a délaissé la Terre
Ne sommes-nous pas fous de nous faire la guerre
Tandis qu’enfants dans l’âme et liés par le cœur
Nous devrions, heureux, chanter d’un même Chœur
Qu’il n’est de possession digne de persister
Parmi les astres d’or par Dieu partout semés
D’une main débonnaire en ces champs d’innocence
Où croît la Liberté libre d’appartenance ?
Sur ce globe sans rêve où la folie essaime
Les clivages maudits de l’antique dilemme,
Un frère chaque jour, quelque part, un quidam
Souffre en sa destinée d’épouvantables drames ;
Dresse la damnation partout ses échafauds,
La misère se fait du quotidien l’écho,
La finance prospère entre bagnes et banques,
Roulent sur les charniers les chenilles des tanks !
Dès lors que la colombe est massacrée par l’aigle,
Compatir n’est-il pas la plus noble des règles ?
Penser à son prochain souffrant plus qu’à soi-même
Ne lui fournit-il pas cette preuve qu’on l’aime ?
Je jette en le tourment ce cri telle une sonde :
Mon frère je t’aimais plus que tout être au monde !
Hélas ! Notre Univers est un vaste Océan
Que la Nécessité, en ses justes courants,
Fait fluctuer non point vers le sens qu’on désire
Et où le contingent n’a pas son mot à dire…
Tu souffrais tellement ! Et l’on n’a rien pu faire
Pour éteindre ce feu qui consumait tes chairs ;
Nous-pardonnerais-tu, témoins de ta géhenne,
Que l’on n’ait pu t’offrir une épaule à tes peines ?
A mon luth éploré quelques tragiques cordes
Jouent le miserere d’une miséricorde…
La poussière et la cendre et la tombe et la croix,
Le Sublime s’entrouvre au vulgaire qui croit
Aux sermons du prophète agonisant pourtant
Du malheur d’être né des autres différent…
Dès lors, se lamenter exposant ses limites,
Que cesse l’élégie et que viennent très vite
Illuminer mes traits, visage du clown triste,
Les rais d’un bel Azur aux couleurs d’améthyste !
Que se taise ma voix, que s’assèchent mes larmes,
Sonnez le glas, chagrin ! Aigreur, rendez les armes !
Peu importe le nom qu’on ne peut oublier,
Reste le souvenir d’un frère qu’on aimait…
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De solitudes,
Pics isolés,
En vastitudes,
Nobles vallées !
Ô Mercantour,
Dans l’Harmonie
Un Ciel d’Amour
Vous donna Vie !
Je veux mourir
Là, en Guillaumes;
Dieu Est, c’est dire !
Échoue l’atome.
Le corps, navire
Des pieux orages,
Un jour chavire
D’affreux naufrages…
Mes Alpes, flots
De pureté !
Onde du Beau !
Lames du Vrai !
En vos mers denses,
Lacs et nuées
Où l’âme danse
Tel un voilier,
Contre ma chair,
Carène infime,
Flue la Lumière
D'Autres Abîmes !
Moi, le nadir
Désespéré,
J’irai Mourir
Un soir d’été
Dans ce Zénith
D’Immensité,
Lequel invite
A admirer…
Brille en les Mondes
L’Astre sublime
Qui vagabonde
Près de vos cimes.
Alpes, vos fleurs,
Bouquets superbes,
Valent que meurt,
Embrassant l'herbe,
La voix criant
Comme à genoux,
Aux quatre vents :
« Je suis à vous ! »
Alpes, j’irai,
Nef éperdue,
Bientôt sombrer
Parmi vos Nues…
Coule, damné,
L’homme et son bagne
Quand, haut sommet,
Île et montagne,
Flotte en silence
L'Éternité
D’une Émergence
Cristallisée…
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Comme l’on fait sa cour,
Dire à Dieu son Amour
Chaque instant, chaque jour ;
Lui crier, dans l’épreuve,
Ces mots fous qui émeuvent,
De sa Foi mille preuves.
Aimer le Père autant
Pour ce qu’il donne et prend
De gaietés en tourments.
Amour, argent, santé :
Que tout nous soit ôté
Selon sa Volonté !
Sentir brûler nos chairs
Le rouge et ardent fer
De l’oppression stellaire !
« Je souffre, donc, je suis »
Telle est la litanie
Que la Nature prie.
Tout épanouissement
N’est que l’enfermement
D’un ego qui nous ment.
Au diable mon bonheur !
Prends exemple, ô mon cœur,
Sur les saints qui se meurent,
Abbé Fouque, insoumis,
Pour la cause inouïe
Des plus grands démunis !
Dans le lit de l’Espace,
J’embrasse, qui m’enlace,
La Mort aux lèvres lasses
De nous voir apeurés
Comme s’offre, en baiser,
Sa libéralité !
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Un crâne dans ses bras, comme on berce un enfant
Et qu’on câline, ému, d’une main délicate,
Marie se languissait de son céleste Amant.
Le démon la rêvait parturiente, aguicheuse,
Mais elle ne voyait en la chair scélérate
Que dégénérescence et vanité trompeuse.
Dans son antre, où l’Amour inséminait sa Foi,
Magdeleine enfantait la dation à suivre
Pour ces générations condamnées à l’effroi.
Et sur le Saint Pilon, volant avec les Anges,
Elle offrait un baiser à la Mort qui délivre
L’âme éclairée par Dieu de son caveau de fange.
(Les Rages du Loriot)
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« L’Eau et la Lumière ont créé la Vie…»
Murmurait l’ermite aux pensées diaphanes.
Au pied de la Loube, à Roquebrussanne,
La simplicité se nommait Élie ;
Ses sabots de bois résonnent encore
Parmi ce jardin donnant la leçon
Que moi le berger, sous les astres d’or,
J’apprends humblement des quatre saisons.
Le Temps tourne en boucle, éternel retour,
Comme en dérision la mort et l’amour,
Et lie à la fleur, bêtes et rochers,
Le passant qui ne fera que passer.
(Les Rages du Loriot)
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Il nettoie les rues
Humble, en se disant :
« Qui balaie les nues
Aidé de ses vents,
Si bien que le Ciel
Est bleu comme en bas
Les trottoirs sont tels
Qu’ils égaient nos pas ?
Il n’est pas de sot
Métier ; Dieu élève
Du laid caniveau
Les plus beaux des rêves.
Les étoiles naissent
D’errantes poussières ;
Où que l’on s’abaisse
Jaillit la Lumière !
Et quand choit les feuilles
Sans fin tournoyant,
Toute âme est en deuil
De ce Mouvement
Que meut l’Infini
Illuminé d’astres
Qu’en naissant l’on fuit
Pour d’affreux désastres…
Les rayons stellaires
Balayant la Nuit
Sans fin dépoussièrent
Ce qu’on fige ici-
Bas ; dès lors, j’attends
Que soufflent mes cendres
Ces faisceaux du Temps,
Lequel sait suspendre
Toute âme évanouie !
Les bêtes, les pierres
Et les fleurs aussi
Me savent leur frère...
Là bas, j’oublierai
Que j’épie toujours,
Moi, le cantonnier,
Un simple bonjour.
Qui devant sa porte
Met de l’ordre au mieux
Le fait de la sorte
Jusque dans les Cieux ».
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Traduction du poème « LOVE » de George Herbert (1) par Simone Weil |
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AMOUR (2)
L’Amour m’accueillit ; pourtant mon âme recula
Coupable de poussière et de péché.
Mais l’Amour clairvoyant, me voyant hésiter
Dès ma première entrée,
Se rapprocha de moi, demandant doucement
S’il me manquait quelque chose,
«Un invité, répondis-je, digne d’être ici.»
L’Amour dit : « Tu seras lui. »
Moi, le méchant, l’ingrat ? Ah ! Mon aimé,
Je ne puis te regarder.
L’Amour prit ma main et répondit en souriant :
« Qui a fait ces yeux sinon moi ?
- C’est vrai, Seigneur, mais je les ai souillés; que ma honte
aille où elle mérite.
- Et ne sais-tu pas, dit l’Amour, qui en a pris sur lui le blâme ?
- Mon aimé, alors je servirai.
- Il faut t’asseoir, dit l’Amour, et goûter à mes mets.»
Ainsi je m’assis et je mangeai.
___________
1) Je vous mets ci-joint le poème anglais que je vous avais récité, Love; il joué un grand rôle dans ma vie, car j'étais occupée à me le réciter à moi-même, à ce moment où, pour la première fois, le Christ est venu me prendre. Je croyais ne faire que redire un beau poème, et à mon insu c'était une prière (Extrait de « la Lettre à Joë Bousquet », rédigée le mardi 12 Mai 1942).
2) Weil, S. (1950), Attente de Dieu, p. 44.
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Or il tendait sa pile à l'homme, sa proie,
Lui disant : "A nos yeux, vous n'êtes que cela..."
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Maquettes vidéo du "Voyageur de l'Orage" saison une et saison deux |
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Les maquettes vidéo du "Voyageur de l'Orage" saison une et saison deux sont disponibles sur Dailymotion.
Elles sont pour le moment en mode de visionnage privé.
Pour recevoir leur permalink, contactez-nous.
Cordialement, Esperluette.
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Le petit film "KARZENSTEIN 07 Mars 2005" (Dernier Texte semi-conscient reçu par Jean Claude Pantel), dont le son a été coupé par You Tube, est disponible intégralement sur Dailymotion (lien bleu):
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Pour lire "KARZENSTEIN 07 Mars 2005", Dernier Texte semi-conscient reçu par Jean Claude Pantel, cliquez le lien bleu suivant :
PS : Le son a été coupé suite à une réclamation due à des droits d'auteur.
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JEAN-CLAUDE PANTEL Chansons remixées du "Voyageur de l'Orage" et autre opus |
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Pour écouter 7 des Chansons remixées (L'Alchimiste, L'Hymne à la Terre, David Caspar Friedrich, Choisir, Introspection, Les Enfants d'Herman Hess, Elle partira) du "Voyageur de l'Orage" et autre opus (JEAN-CLAUDE PANTEL), cliquez sur le lien bleu :
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CRÉATION D'UN OBJET FRACTAL RENDANT COMPTE
DU MOUVEMENT TOURBILLONNAIRE INFINI
INHÉRENT AU SYSTÉMATISME ORIGINEL :
LA SPHÈRE ARMILLAIRE D’&.
1ère étape : Imaginer une sphère armillaire dont l'unique armille possède un axe de rotation central (Perçant en son centre le volume sphérique), comme pour représenter n'importe quel méridien à la surface d’un globe…
2ème étape : Multiplier l'orientation axiale de l’armille proportionnellement au nombre infini de rayons traversant la sphère (selon le paradoxe de Zénon).
Chaque axe gagné décide d'une tout autre longitude prise par une nouvelle armille (Un peu comme si on ajoutait une infinité de cercles autour d’un point censé représenter l’électron en ses nuées).
2ème étape : Faire tourner toutes les armilles en même temps.
3ème étape : acquisition d’un objet fractal engendrant une infinité de mouvements tourbillonnaires dans absolument toutes les directions de l’Espace intersidéral.
4ème étape : Le modéliser sur ordinateur et le puis le simuler...
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LE CRI DE SINOUHÉ L’ÉGYPTIEN |
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Sans ne compulser les livres abstrus,
La philosophie et la science imbues,
Sinouhé criait sa déception :
« Seul un homme mort est un homme bon ! »
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La tête couronnée brandit à bout de bras
Une torche sans feu au bord d’une falaise ;
La nature a fini par reprendre ses droits
Et la mer infinie est comme à sa genèse.
Dans le souffle du vent l’énergie enveloppe
Les vagues se brisant en de blanches écumes,
Or, le Ciel est si bleu si ce n’est qu’y galope
Tel un coursier de feu, quelque vapeur qui fume…
Le libre-arbitre, enfoui dans les dunes d’or fin,
Subit du Temps cruel la corrosion néfaste ;
Du livre de nos vies la charte au dogme vain
Attend que l’élément l’achève en le Ciel vaste.
Scène d’Apocalypse ou bien vision de rêve,
La Liberté épie un monde sans humains ;
Et qui n'aspire pas à cette calme grève
Ignore cet Amour que Dieu cache en son sein.
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« L'homme est un dieu tombé qui se
souvient des cieux. », Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques, Méditation seconde,
L’homme.
I
Autant
le dire tout de suite : L’androgyne que nous fûmes était un
Semi-Géométrisé (Pour ceux qui n’avait pas encore compris).
Aussi,
résumer aujourd’hui le sort dévolu à notre espèce ne serait rien d’autre que
mettre en exergue le fruit d’une manipulation génétique qui aurait mal tourné.
L’instant
ne nécessite pas une étude fouillée du prodigieux Texte daté du 23 Juin 1999
ayant amené Karzenstein à aborder progressivement le tubicolisme dans la
« sophistication » qui lui est propre.
Retenons
pour l’heure que ce mode de procréation réclamait une prouesse technologique (Clonage) qui
nous fait défaut aujourd’hui, mais que mille fois hélas la fin de ce cyclique
réactualisera bien assez tôt (Ectogenèse).
Mais
en bref, que pouvons-nous retenir de ce qui constituait alors l’élément-clef de
toute une ingénierie génétique précipitée dans un ultime sauf-qui-peut ?
Tout
simplement la duplication d’un gène animal, en l’occurrence, celui d’un singe,
devenu, dans le prototype hybride artificiellement promu, une cellule souche
expérimentée au cœur même d’un cylindre géniteur, lequel – quoi qu’on en dise –
ne put disparaître sans laisser trace d’une quelconque empreinte archéologique.
Mais
délaissons ces découvertes évidentes que certaines fouilles amenèrent à cacher
aux yeux trop curieux d’un public avide de savoir ce qu’on nous cache depuis
toujours.
Au
cours d’un Archéo-Cyclique (Probablement déroulé durant une partie de ce que
notre paléontologie nomme le Quaternaire), les Androgynes initiaux furent
perturbés par l’explosion démographique d’une multitude d’espèces géométrisées
délimitées spacialement en fonction de facteurs édaphiques.
De
prime abord, n’excluons pas de ce surpopulationnisme dérégulé les
embranchements respectifs ayant généré le Cro-Magnon et le Neandertal.
Nous
savons - grâce en soi rendu aux munificents V.E.T. – que le contrôle des naissances
intenté par les Androgynes échoua. Puis le mouvement cosmique s’emballa.
Après
une série involutive de « novations chromosomiques » ayant ponctué le douloureux cheminement de leur
dégénérescence, un cataclysme majeur dut sonner le glas de la tentative
d’élévation des androgynes.
Du
Cyclique suivant naquit la fissiparité définitive de notre espèce (Division de l’œuf en
deux sexes), et les cellules humaines quittèrent définitivement le foyer douillet
et relativement anaérobique du génie génétique tubicole (Colligération de
cellules en vase clos) au profit du ventre féminin.
II
Et
c’est là qu’entrent en scène la majestueuse Karzenstein et les Siens.
En vertu du Principe volume/Vide auquel tout obéit (ne
laissant donc place à aucun hasard possible), la
Loi des échanges pallie à tout manque avéré provoqué par l'événementiel en ses divers aiguillages.
Dès lors, personne ne s'étonnera outre mesure si s'opère en tout changement de situation un type de « subrogation »
que l’on pourrait comparer au jeu « dit » des chaises musicales.
Rappelons
succinctement les propos même de l’Être de Lumière, laquelle ébranla nos
(pseudo) certitudes lorsqu’Elle nous révéla, en Mars 1983, qu’Elle et les Siens
« fû[rent]
projetés et [s]’amalgam[èrent] à la planète Terre sous forme de cellules
identiques à celles qui [n]ous constituent » (Sous entendue la géométrie).
Puis juxtaposons-les sur-le-champ aux assertions de Juin 1999 ayant fait dire à cette
même Entité « qu’Ils pass[èrent] pour lors la majeure partie du cyclique
succédant à la disparition progressive des androgynes dans un état de
« semi-géométrisation ». »
« Qui
va à la chasse, perd sa place » a-t-on coutume de dire.
En quête de corporéité,
l’Androgyne, ayant abandonné le siège d’une « Extra sensorialité » alors
devenu vacant, démissionna d’un « poste » qu’il restait « à
pourvoir ».
Et
c’est sur ce trône vidé de son antique « visiteur de l'Espace-Temps » que
la race karzensteinnienne, initialement géométrisée, assit sa supériorité en
acquérant le sceptre depuis peu gagné de cette Semi-Géométrisation que nous
perdîmes pour le plus grand de nos malheurs.
Saurons-nous
un beau jour le rôle que joua Jadöpher (désormais le Maître, ex-androgyne) dans l'initiation et la mise en
place de ce qui reste une véritable passation de pouvoir planétaire ?
Aurons-nous
à jour à notre connaissance le nom de la peuplade indo-européenne ayant naguère
vu naître, en son sein, les divers avatars géométrisés de celles et ceux qui
aujourd’hui, se font appeler Jigor, Magloow et autre Frida ?
Rien n'est moins sûr; mais une
chose, cependant, demeure certaine : « [Nous sommes], - comme l'a martelé
Karzenstein dès Mars 1983 - pour les Espèces vraies le souvenir de leurs
expériences ».
Les Atlantes, civilisation fraîchement acquise à la Semi-Fluidité, finirent, en conclusion d'une énième récursivité cyclicale, par se « dégéométriser » au contact de la méga-colossale éruption minoenne (Accès à la Fluidité); aussi,
laissèrent-ils eux-mêmes des portions « d'espaces vides » que d’autres races humaines surent aussitôt « comblées ».
Le
recoupement, sans que l'on n'ait à le forcer, s'impose naturellement à nous : Les Semi-Géométrisés que
fréquente régulièrement Jean-Claude Pantel, dans les gares ou ailleurs, appartenaient
jadis à d’antiques espèces géométrisées ayant su évolué à notre détriment.
Vae
victis. (A suivre).
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LE BALADIN (Chanson de Mémoire d'Eveil) |
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C'est l'âme envahie de chansons que l'été savait lui porter,
L'escarcelle emplie de tisons de soleil chaud qu'il s'en allait,
Au fil des jours qui mènent de l'automne à l'hiver,
Pour, entre neige et ciel, faire danser la mer...
Si s'était buriné son front aux cieux de mille et un pays,
Aucun n'avait de son plafond su faire le toit de sa patrie,
Naissant à chaque jour, sa bannière claquait
Aux couleurs de l'Amour, l'Espoir, la Liberté !
Et se tressant à ses refrains,
L'écho montait dans le matin,
Faisant éclore sur le chemin
Mille bourgeons, mille parfums !
Parfois aux hanches de la route : lisière des bois et des champs,
Gibier essuyant la déroute venait, à son pas nonchalant,
Rechercher protection au cœur de ses couplets
Qu'il tissait sans façon, au creux de son gilet...
Alors soudain, autour de lui, tourbillonnant de toutes parts,
Comme un essaim ivre de vie, qui prenait le temps pouvait voir
Un cortège magique aux multiples espèces,
Où la joie, la musique épousaient la tendresse...
Qui le chasseur, qui le chassé,
Loup, écureuil et braconnier
S'accordaient en leur lendemain
Au diapason du baladin !
Mais l'harmonie ne se prolonge qu'en ce qui sait s'amalgamer
Et la brume de nos mensonges voile les rives d'Hyperborée
Où il s'en retourna, m'en témoigne le chant
Que le ruisseau qui va fredonne en son courant...
Notre destin, ainsi scellé, nous interdit d'y accéder
A ce que nous font miroiter, en des périodes variées,
Béotie ou Judée, Prophètes et Messies,
L'arc-en-ciel n'apparaît qu'entre gouttes de pluie...
En mal de bourgeons, de parfums, )
La "foi" erre sur les chemins : )
Attendant l'écho d'un refrain ) ad libitum
Qui la conduise au "baladin"... )
Paroles et Musique : Jean-Claude PANTEL
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"Vouloir des enfants, c'est vouloir se venger de son passé. C'est pour la femme faire don à sa propre mère de sa haine et pour l'homme rivaliser avec son père ou avec Dieu dans le fantasme imbécile d'une postérité. Et c'est pour chaque couple un remède au désespoir. Quand la vie a trompé nos attentes, quand on a renoncé à se créer soi-même, quand on pressent que tout est foutu, alors plutôt que de se rendre à la morgue, on convie sa famille et ses proches dans un lieu plus sinistre encore, parce que plus kitsch : la maternité". (Roland Jaccard).
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« Le crime à grande échelle accompli par des Êtres ne l’ayant envisagé, de façon à éviter les réminiscences, et le suicide
de ces Êtres : l’acte irréfléchi par excellence ». Décembre 1977,
Virgins.
I
LE SACRE DE
NÉRON
« - Quel grand artiste
périt avec moi ! » Néron.
Dieu couronnait Néron
des lauriers d’une Gloire
Immortelle ; au
côté des Anges, les martyrs
Du Christ félicitaient,
dans un concert de lyres,
De leur persécution le
cruel étendard.
« - Par delà bien et mal ! »
chantait le divin Chœur
Autour du juste acquis
à de plus nobles causes
Comme, en le tourbillon
de la Métamorphose,
Les arches de l’Amour
dessinaient de grands cœurs…
II
HITLER PLEURAIT
« Quand j'entends du Wagner, il me
semble percevoir le rythme du monde antérieur » Adolf Hitler.
Hitler
pleurait, tout seul au fond de son bunker.
Son pistolet
en main, accolé à la tempe,
Reflétait au
plafond les lueurs d’une lampe
Qui traînait
sur la table ; un corps gisait à terre
Auprès du
canapé humide de sanglots
Sur lequel
le tyran fredonnait du Wagner;
Et puis il
fit parler la détente de fer
Sa dernière
pensée pour Rienzi, son héros.
III
LA PROPHÉTIE DE JIM JONES
« N'ayez pas peur de mourir, la
mort est juste le passage vers un autre plan, la mort est une amie », Jim
Jones, le 18 Novembre 1978.
« - Nul ne prend, ni ne donne, une force s’en mêle
Laquelle,
à notre insu, gouverne nos cerveaux,
Comme
Hercule pour Zeus accomplit ses travaux,
Tout
massacre ici-bas meut un miracle au Ciel.
L’âme
qui pérégrine aux Champs Élyséens
Si
me suit oubliera ces pesants souvenirs
La poussant, en bébé, à sitôt revenir… »
Ainsi Jones parlait, sa bible dans
ses mains.
IV SANCTIFICATION
« Cet
affreux soleil noir d’où rayonne la nuit ! », Victor Hugo, Les
Contemplations, VI.26 Ce que dit la bouche d'Ombre.
Lorsque
l’Agissement sur tous les actes prime,
Nul
code ne saurait bénir ces « Bienheureux »
Dont
l’abstraction de soi réverbère des Cieux
L'Harmonie qu’un bourreau délivre à ses victimes...
Depuis
l’aube des temps la lumière et la nuit
Se
disputent nos chairs, commode vérité,
Mais
qui pourrait donc voir dans tout monstre abhorré
Les
desseins d’un Cosmos insensible à nos cris ?
V
RESUPERPOSITION
« Toute
guerre est un infanticide différé », D’après Gaston Bouthoul, polémologue.
Ô
Spirale du Temps, quand ta trombe accélère
La
pression de tes flux par mille et un impacts,
Quand
ton déluge d'eau et de feu cataracte
Depuis ces hauts sommets qu'ont les noirs Univers,
Combien
l’homme s’y noie par trop d’enfantements !
Aussi,
faut-il un guide à la poigne de fer
Portant,
sans rechigner, l’instrument de ta mort
Qui
fauche autant d’épis qu’il faut pour qu’un essor
Nouveau
laisse germer les grains d’autres enfers…
VI
RÉCUPÉRATION
« Et
je dis à la Nuit : Répondez, accusée. » Victor Hugo, dernier vers de La
Pitié Suprême.
Pas
de pitié suprême en guise de pardon
Absolvant
nos péchés, point de miséricorde !
La
justesse a ses lois, les barbares ses hordes,
La
divine balance un fléau qui crie : Non !
Non
à la populace inouïe qui se répand !
Non
au nombre indécent partout multiplié !
Tu
mêles, Azur bleu, sur l’herbe calcinée,
Quelque
noire fumée à la vapeur des champs…
VII
IRRIGATION
« Fasse
le Père que là se situent les futures réminiscences de votre espèce !..»,
Rasmunssen, Mars 1983.
Demain,
ne naîtront plus ni obscènes ni saints,
Et
d’une pluie nouvelle où se déverse l’onde
Qui
pousse nos cinq sens à croire à ce bas-monde,
Jaillira
l’Espérance offerte au genre humain.
Une
société juste ayant pour fruit ultime
D’une
durable paix la consécration,
Ce
jour où notre ego, de la Création,
Ne
sera plus jamais le cancer ni le crime.
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RECOUPEMENT (Pour un futur poème) |
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« Le crime à grande échelle accompli par
des Êtres ne l’ayant envisagé, de façon à éviter les réminiscences, et le
suicide de ces Êtres : l’acte irréfléchi par excellence ». Décembre
1977, Virgins.
L’empereur romain Néron, le dictateur Adolf
Hitler, Le pasteur protestant Jim Jones : 3 indéniables Mues évolutives.
Prédominance de l’Agissement sur l’acte : « Par Delà Bien et Mal »,
Friedrich Nietzsche.
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Sachant Aristote
Et Platon par cœur,
J’ai fui dans la grotte
Creusée dans mon cœur
Où je viens causer
Avec Dieu le Père
Ayant fabriqué
Tous les Univers.
Ouvriers, mineurs,
Là, dans l’interstice
De votre douleur,
Une voix s’immisce
Qui - dans sa béance -
Ne requiert en fait
De votre présence
Qu’immobilité.
Plus aucun effort,
Plus aucun labeur ;
Une source sort
Dans l’antre du cœur
Qui coule et étanche
Une soif sans fin
Et dont l’avalanche
Noie tous les chagrins.
Stoppez les machines,
Rangez vos écrous,
Relevez l’échine !
Sobres, soyez souls
De cet Eau que filtre
Le Vide en ses Flux
Et, du divin philtre,
Amour Absolu,
Rassasiez la soif
Compensant vos peines :
Que l’Onde afanaf (*)
Coule dans vos veines !
Un rayon pénètre
Dans tout inconscient
Lequel parle d’Être
Tout en murmurant
Aux ouïes attentives,
Du silence sœurs,
Les paroles vives
Que dit le Bonheur.
Soyons ! Tout est là !
Il n’est besoin d’actes
Pour être ici-bas :
Le Vrai cataracte
En cascades d’or
Depuis les étoiles
Aux orages forts
Que l’Ambiant exhale !
Âme, n’es-tu donc,
En ta relation,
Qu’intime spélonque
Où circule, au fond,
Ce souffle sublime
Expiré d’Ailleurs
Depuis cet Abîme
Dont on a si peur ?!
Entrez, travailleurs !
Forçats de nos jours,
Là où la sueur
Versée n’a plus cours :
Cette cavité,
Nichée en nous-mêmes,
Nommée Vacuité,
Délice Suprême !
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(*) Le Semi-particulaire.
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Valsent les feuilles
Du roux platane ;
Mon corps en deuil,
Fleur que Dieu fane,
Voit d’un bon œil
Tout ce qui tombe
Et, sur le seuil
Des mornes tombes,
Nous réanime
A cette Essence (*)
Dont l’Onde prime
Sur l’existence…
Les belles croix
De marbre brillent ;
Le matin froid
D’or qui scintille
Expose au ciel
Des symphonies
D’astres, lesquelles
Jouent d’Harmonie
Ces partitions
Que nul n’entend !
Or, les morts ont,
Non des tourments
Mais des oreilles
Orientées toutes
Vers les soleils
Aux rondes routes
Qui sont les notes
Qu’en longs cortèges
Dieu pianote
Par tant d'arpèges !
Le cimetière
N’est qu’abandon.
Vénus est fière
A l’horizon ;
« L’homme, me dis-je,
N’est qu’illusion
Dont les chairs figent
La damnation ;
C’est ce cadavre
En mouvement (*)
Dont l’ombre navre
Le clair instant… »
Qu’il est affreux
L’amer effroi
Du bilan creux
De nos abois :
Ces mille humeurs
Qui, versatiles,
Sonnent les heures
Des choses viles
Crucifiant
Nos prétentions
Dans les tourments
De la passion.
Les pauvres hommes !
Quelle abjection
De n'être, en somme,
Que déceptions
Clouant sur place
Nos corps déchus
Au sombre espace
Du Temps perdu !
Dansent les ifs
Sur le vent doux.
Les buis massifs
Frémissent où
Souffle la bise
Qu’expulse Éole
Des nuées grises
Qui au loin volent
Très calmement.
Hélios se lève
Et sur-le-champ
Fait taire un rêve…
Mes pas piétinent
Le fin gravier,
Les pierres fines
Sous mes pieds
Roulent et font
Ce bruit que fait
L’Oscillation
En ses excès…
Toutes mes nuits
Je dors, malsain,
Un crucifix
Dedans ma main.
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(*) La temporalité.
(**) Magloow : L’homme n’est qu’un
cadavre en mouvement.
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DETRUIRE L'OEUVRE DE LA FEMME |
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"Je suis venu détruire l’œuvre de la femme", Jésus de Nazareth.
Quand
le mot le plus faux de la langue française :
Aimer,
sera exclu de tous nos dictionnaires ;
Lorsque
la séductrice, âme célibataire,
Jettera
avec foi vers Dieu ses yeux de braise
Et,
délaissant le vice honteux de l’apparence,
N’aura
pour convoitise unique qu’innocence,
Alors
le mal enfin, du mâle le faux-frère,
Définitivement
disparaîtra de Terre.
Dans
les jardins du monde, avec, au front, les fleurs
D’une
pensée grandiose et modeste à la fois,
Ce
jour où nous irons, main dans la main, en chœur,
Chanter
cet Autre Temps qui ne s’arrête pas.
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2 ANECDOTES COMME ÇA EN PASSANT OU POUR EN FINIR DÉFINITIVEMENT (OU DU MOINS ON L’ESPÈRE) AVEC LE « BISOUNOURISME ANGÉLIQUE AMBIANT » ISSU DE L’ÉSOTÉRISME DE MERDE
Je
me souviens qu’une fois, suite à l’incendie d’une boîte de nuit provoqué par l'O.M. (*), - lequel avait fait plus d’une cinquantaine de morts - , un
Semi-Géométrisé avait dit à Jean-Claude Pantel :
« L’humanité
du futur ne saurait renaître de ce genre de cendre ».
Dans
le même ordre d’idée, Jean-Claude s’était un jour retrouvé marchant dans une
rue avec un extincteur dans ses bras. Un hémi-Géométrisé apparut alors et lui
parla de l’incendie d’un appartement en cours, dans lequel le propriétaire
était en train d’être consumé par les flammes.
La
personne en question était un arnaqueur de haut vol qui avait tenté d’escroquer
Jean-Claude Pantel.
On peut dire qu'il
y a eu une légère erreur sur la personne…
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(*) Organisation Magnifique : Les incendies font partie des Ordinations Magnétiques opérées par
toutes les classes de V.E.T.
Cet
actionnel d’ordonnancement, rendu légal (régularisation) de par les exigences de la Justesse
justifiant son impression, a pour principales et indissociables finalités (soit plus l’une, soit plus l’autre mais
jamais l’une sans l’autre) :
1) Un apport
de semi-particulaire (Notamment pour les Semi-Géométrisés).
2)
une meilleure répartition de la pression subie par les espèces géométrisées.
« Vivre
ce que le Père leur donne » et « subir ce que sa vérité leur propose »
(Karzenstein, Mars 1983) différencient le nuancement qu’il convient d’établir
entre contingence d’un situationnel
particulier réclamé par les Homochromes (besoin sui generis des Semi : 1) et nécessité imposée par une situation
générale (équilibre sur un plan plus universel : 2).
La
calcination d’un night club (1) se verra ainsi orientée vers une téléologie
plus personnelle du côté des Semi-Géométrisés que le cas du brûlage d’une importante partie de maquis corse (Comme
ce fut le cas durant les années 90 par exemple), lui plus marqué étiologiquement (2) : Périurbanisation
adductive d'un passif de Flux directionnels.
Parmi les cas les plus connotés 2, on notera aussi les feux successifs déclenchés chez les parents de Lucette (anciennement Pantel) par les Semi-géométrisés auxquels fait référence Karzenstein dans le Texte daté du 29 Juin 1995, ainsi que l'accidentation du scooter de Stéphane Auzié (neveu de Lucette) ayant entraîné sa mort.
Et oui, décidément, comme le disait parfois Patrick Mazzarello : « Ils ne font pas dans la dentelle ! »
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Ma religion ?
Ne plus parler;
Plus aucun son,
Langue nouée.
Laisser la mouche
Là bourdonner
Ce que la bouche
Ne dit jamais.
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A PROPOS D'ICONISME VERBAL |
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Iconisme
verbal : Propension vaniteuse inhérente à certaines
espèces pensantes (Que nous caricaturons) à croire que le mot traduit la Chose
(Expression du Mouvement) ; l’image littéraire ne faisant qu'attifer l’expression
réifiée de l’Infini d’un habit de verbiage indécent pour qui situe la
source du Mouvement Universel.
I) Un peu d’histoire...
Dans les pas du judaïsme, le
christianisme, commettant le « péché
d’incarnation » dès sa primitivité, destitua Adonaï en les dimensions réduites d'une nouvelle statue aux contours d’Adonis : Le Christ pantocrator.
La sculpture, comme la peinture, jouèrent dès lors un très grand rôle dans cette « iconographie »
- la plus souvent anthropomorphe – qui abaissait de tous temps le Théos monothéiste au rang de
représentations indignes rivalisant avec les pires heures des polythéismes
antiques.
Très vite, on donna un grand rôle à tous
ceux qui, dans un besoin de rassurance, travestirent le Divin sous des
attributs bassement humains.
Aussi, pour avoir osé incarner « l’inincarnable »
à travers son « Annonciation », l’évangéliste Luc ne se retrouva-t-il pas propulsé
« saint patron des peintres » ?
De burin en pinceau, l’art médiéval ne
cessa de creuser et d'ornementer l’écart profond situé entre nous et le Noûs, malgré les nombreux
« Polyeucte(s) » en révolte qui n’attendirent pas la plume de Corneille
pour être décapités.
II)...Et d'historicisme :
Hélas ! l’image représentant que très
imparfaitement le représenté, l’adulation par trop appuyée de l’onde de forme
mènera à jamais l’égaré à confondre produit (volume) et origine (Vide) d'une inspiration (interception) vouée à l'enfermement (l'idée) sous couvert de géométrie.
Afin d’éviter cet énième travers
anthropologique, Platon n’appelait-il point, déjà en son temps, à bannir de sa
Calipolis tous les artistes, accusés d’enfermer la Forme (Archétype) dans les formes ?
C’est pourquoi l’iconoclaste convaincu
de la Transcendance divine conduira toujours, de par un message à « caractère
paraclétique » (spiration), le religieux pragmatique à rejeter tous formalismes issus des religions (en-) doctrinaires.
Chez le sujet pensant et avant tout
pensé, l’iconoclasme traduira donc, en tant que réception et perception logique
du Courant de Pensée, la capacité à faire le Vide, et ce malgré métaphore, allégorie,
et autre prosopopée (tropes) qui parent parfois et maladroitement le réel sous
sa plume désespérée.
Et pour les amateurs de rire, il y aura encore et encore la
joie de lire ou de relire le passage de « l’île des papefigues » du
Quart Livre de François Rabelais.
Comprenne qui pourra (eh ! eh !
eh !).
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A PROPOS D'INTUITION PROVOQUÉE |
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Intuition provoquée : Capacité chez certains vocation(-)nés (Vocation Anthropocentrique = Systématisme Originel) à provoquer l'intuition chez autrui (Nourriture de la dite Vocation).
Elle correspond à la maïeutique enseignée en son temps par Socrate.
Cette fonction très particulière du philosophe, voué à une exuviation, dénote une propension, comparée au travail d'une "sage-femme", à faire accoucher l'idée (Eidos) chez l'autre (Interceptionnisme).
La chose appartient intégralement à cette aptitude révélée par des initiés exceptionnels à faire vivre chez son prochain l'Agissement (Voir cas Jean Platania).
Nous nous attardons ultérieurement sur la différenciation à observer entre Platon et Jantel, notamment sur la Réminiscence et sur la notion d'idée, judicieusement remplacée dans les Textes (V.E.T) par le terme noétique - "révélatif" de la Pensée - d'Information (l'idée étant son enfermement au sein de cette forme si particulière de géométrie que représente le penser).
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Désespérément seul, perclus, en bout de table,
Derrière un grand bouquet de belles
ancolies,
Louis deux ne parlait pas, ignorant
ces notables
Qui cherchaient son visage au sein des jeux fleuris.
Les convives soupant, par trop embarrassés,
Faisaient parfois chanter le cristal
de leur verre
D’un doigt très délicat ; entendaient-ils
souffler
Dehors le vent glacial des Alpes de
Bavière ?
Dehors, l’immensité ! Dehors,
le saint Graal !
Dehors, le divin sang des monts et
des forêts :
La neige ornant les lacs, l’aurore
au feu jovial !
Dehors, la pâmoison de l’âme
ensorcelée !
Une main au menton, le regard
ténébreux
Tourné on ne sait où, le roi au
front fantasque
Écoutait dans la nuit au corps caligineux
Sonner un cor de chasse errant dans
la bourrasque.
Cher Ludwig ! Ô combien ta morne
solitude
Inspira tout un siècle enclin à la
beauté !
Combien tu fus génie dans l’art et
dans l’étude
De la contemplation où ta foi s’abîmait !
Lorsque le crépuscule, aussi noir
qu’écarlate,
Pénétrait dans les murs épais de
ton château,
Sur ton cygne embarqué, plus froid
qu’un automate,
Tu voguais à travers Tannhäuser et
ses flots.
Dans cet antre où Vénus te faisait
les yeux doux,
Tu étais Lohengrin, le héros de tes
rêves,
Le baladin sans peur, le chevalier
fou
Brandissant dans ses poings fumants
son puissant glaive ;
Et Wagner te guidait de sa
partition,
Splendide symphonie venue de l’au-delà
Comme Dieu le mettait en communication
Avec le Rémanent d’une Supernova !
Bercé par la cascade, entre deux
stalactites,
Sur le courant fluant clapots et vaguelettes,
Ainsi tu naviguais, sans aucune
limite,
L’étang d’or du Cosmos, lumineuse
tempête !
Et qu’importait la mort qu’on réserve au cœur brave
Quand la comète folle, élément sublimé,
Promettait, digne proue d’une subtile
étrave,
Au vaisseau de ta joie quelque immortalité…
Désespérément seul, perclus, en bout de table,
Derrière un vase grec aux fraîches
ancolies,
Le monarque, oublieux des stupides notables,
S’assoupissait aux bras de la Mélancolie.
Pauvre roi ! qu’un passé fit naître
d’une forme
De désordre instaurée par trop d’Entéléchies,
Que mon poème enfin, sincérité
énorme,
T’adresse en sa tendresse un
millier de merci.
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Ramons, frères, ramons ! Que vogue la galère…
Besognons
aujourd’hui, et demain comme hier
Puisqu’il
le faut !
faute à de bien sombres
mémoires
Qu’actualise
un Ambiant (*), sempiternelle histoire,
L’enfance
passe vite où on apprend déjà
A
supporter le joug, insupportable effroi
D’une
éducation voulant nous faire chiourme…
L’adolescence
en rut devant jeter sa gourme,
L’adulte,
ce forçat qui est content de l’être,
S’enchaine
à son banc noir et, comme ses ancêtres
Avant
lui, prend sa rame et crie : « Oh hisse ! Oh hisse ! »
Puis
le berceau s’en vient près de la bière lisse
Fournir
à ce bas-monde un bagnard qui manquait !
Les
flots sont tumultueux, le flux démesuré
Faisant
que tout esprit oscille entre deux vagues ;
La
dague offre aux doigts sûrs l’or fin des belles bagues.
La Réale a besoin d’esclaves pour toujours
Entretenant pour ça le terme faux d’amour ;
« L’amativité »
folle, enflant le cogito,
Donne
un peu de courage au couple dont l’ego
Se
croit reproductible, et voilà que l’on offre
Aux
crocs sanglants de chefs assis sur leur beau coffre,
Une
nouvelle proie bien tendre et qui fait « Bé ! »
Quand
cela cessera ? Jamais ! Jamais ! Jamais !
Chacun
a sa chacune, et les bébés vagissent
Leurs vaines lallations, prémices de caprices.
Hélas !
bat le tambour sans cesse de Misère
Elle,
l’arrière arrière arrière arrière arrière
Grand-mère de
la triste et nulle humanité.
Sous
les coups répétés d’un séculaire fouet,
D’une
époque à une autre, on change les habits,
On
signe d’autres droits, des chartes à l’appui,
Mais
se tient à genoux toujours le majordome !
Oh !
Quelle drôle espèce aux yeux de Dieu nous sommes !
Souverains,
empereurs, présidents, que nous fait
Le
nom qu’emprunte alors l'injustice versée ?
La
procréation est le pire des vices,
Ne
fit-elle pas dire à un tyran jadis :
« C’est
avec des hochets que l’on mène les hommes ! » ?
L’homme
est un loup pour l’homme, inaltérable axiome,
Dès
lors, pourquoi faut-il encor le prolonger ?
La
nature saura bientôt nous expulser.
Tenez,
frères humains, bêtes nées pour la tonte,
La
chronique avérée faut-il que je vous conte
Des
ces hoplites dont les défuntes Cellules
Servir,
de vie en vie, atomes, corpuscules,
Force nouveaux combats sous de neuves cuirasses,
Réminiscence
en proie au vent du temps qui passe ?
Faut-il
que j’enchérisse en précisant qu’au pied
D’une
ample citadelle ou au cœur de tranchées,
Ces
guerriers, renaissant de leurs cendres maudites,
Du
conflit de « 100 Ans » à « 14-18 »,
Servirent
Charles VII et Raymond Poincaré (**)?
Allons,
frères, ramons ! C’est notre destinée.
Mais
il nous appartient, n’ayant pas le choix d’être,
D’émanciper
celui de ne pas faire naître !
Or
je vois cette lame immense à l’horizon
Qui
va bientôt couler notre embarcation :
Injuste
société ne pouvant plus durer
Quand
tout se sauvera où rien n’est à sauver.
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